Le rideau se lève, la pièce commence comme un vaudeville : le mari, la femme, l’amant et l’inévitable placard. Tous les ingrédients du genre semblent réunis, mais les spectateurs ne vont pas assister à une représentation comme les autres ; cette fois l’amant, que le mari a découvert dans le placard, s’écroule dès son apparition sur scène. L’acteur ne se relève pas, il est réellement décédé. Panique sur le plateau. Y a-t-il un médecin dans la salle ? Faut-il faire évacuer ? Doit-on laisser le rideau ouvert en attendant l’arrivée de la police ? Les avis divergent, la tension monte… La thèse de l’accident étant très vite écartée, il faut se rendre à l’évidence, il s’agit bien d’un meurtre. Qui a bien pu le commettre ? Pour quelles raisons, et surtout de quelle manière, le ou la coupable a-t-il ou a-t-elle procédé ? La police, dépêchée sur les lieux, mène l’enquête. Des spectateurs à la maquilleuse, du metteur en scène aux acteurs, tout le monde est considéré comme suspect, pour l’inspecteur, une seule certitude : le coupable est dans la salle.
C'est essentiellement dans le quotidien des gens qu'il puise son inspiration. La cohabitation et l'éloge de la différence sont des thèmes récurrents que l'on retrouve dans presque toutes ses comédies.
Le site internet d'Yvon Taburet.Mais aussi deux représentations, les 5 & 12 juin 2009, dans le cadre de Comédie comme elles disent, organisé par Léo Lagrange Gentiana.